Maxim a complété sa formation en comptabilité à l’École de Gestion John Molson de l’Université Concordia avec distinction en plus d’obtenir diverses mentions honorifiques. Il a par la suite obtenu son titre de CPA au Canada ainsi qu’aux États-Unis.
Sa rigueur académique et sa volonté de se surpasser lui permettent d’obtenir un poste chez Deloitte à Montréal, où il entame sa carrière professionnelle. Deux ans plus tard, il sera propulsé dans la ville de San Francisco où il travaillera pour une firme régionale en tant que directeur en certification. Au travers des années, il acquiert des compétences et un savoir qui lui permettront de travailler avec des entreprises de toutes tailles, opérant dans différents secteurs, lui présentant des opportunités de développement et d’avancements diverses.
C’est en 2019 que Maxim fait un retour à Montréal, où il arrive chez MASSIVart avec un lourd arsenal de connaissances. Un fort intérêt et une fascination pour l’art poussent notre directeur financier à mettre en oeuvre son expérience afin de guider l’entreprise vers une croissance saine et à saisir les opportunités qui se présenteront. Ainsi, il contribue, à sa manière, à propulser l’art et la culture vers de plus hauts sommets.
Alors que je fête le premier anniversaire de mon nouveau rôle chez MASSIVart, je profite de l’occasion pour partager quelques réflexions sur la manière dont la finance et l’art, aussi largement qu’on puisse les imaginer, sont généralement considérés à des extrémités très différentes de tout spectre, s’ils sont même considérés comme faisant partie du même spectre.
L’un est généralement considéré comme la recherche de la richesse et du profit, ou plus globalement de la santé financière, tandis que l’autre, comme un moyen de tirer parti de la créativité pour s’exprimer, un agent d’embellissement et, dans une certaine mesure, un luxe destiné à ceux qui excellent dans le premier.
La finance, dans son sens le plus large, est en fin de compte axée sur la croissance, notamment par la recherche d’efficacité, la réduction des coûts et l’élimination des contraintes en matière de ressources. D’autre part, l’art, et par extension la culture et la créativité, contribuent sans aucun doute à la création de valeur en différenciant sensiblement le positionnement et la communication, ce qui se traduit par un fort sentiment d’adhésion des clients et par l’alignement des intérêts des différentes parties prenantes.
Étant donné que les résultats de l’une sont plus facilement quantifiables, elle tend à être associée à une plus grande création de valeur, tandis que l’autre, simplement en raison de la nature différente de ses résultats, est considérée comme étant plus superficielle dans sa contribution à la création de valeur et, par conséquent, tend à être considérée comme moins nécessaire ou urgente comme un investissement.
Je voudrais cependant faire valoir, aujourd’hui plus que jamais dans le contexte d’une crise financière comme aucune autre auparavant, que, parmi d’autres stratégies, la combinaison de facteurs financiers et d’une volonté d’intégrer des initiatives créatives et artistiques sera nécessaire, et ce pour la plupart des acteurs du marché, pour imaginer leur retour à la santé financière, au succès et à la croissance. Cela pourrait en fait les aider à définir leur nouvelle stratégie de communication et de positionnement dans un environnement très concurrentiel.
En plus de l’équipe qualifiée, très motivée et expérimentée, ainsi que de l’impressionnant portfolio de l’entreprise, le principal aspect qui m’a donné envie de faire partie de MASSIVart était la simple prémisse qu’il n’y a aucune raison pour que l’art, la culture, la créativité et les affaires financières ne puissent pas être considérés ensemble comme un moyen de relever les défis modernes, très complexes et en rapide évolution pour les divers acteurs économiques.